Cette critique résume bien mon sentiment sur le Catch-impro :
En fait, rien de neuf par rapport à la formule inventée au Québec pour remplir les stades de hockey : deux équipes en maillot sur un ring, un arbitre souverain et le public qui vote en brandissant un carton.
On me parle souvent du Catch-impro comme d’une innovation particulière par rapport au match, voire une libération par rapport à ses contraintes propres. J’ai du mal à voir la différence. Est-ce que j’ai raté quelque chose?
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