J’ai vu Toute l’histoire de mes échecs sexuels ce soir.
C’est typiquement un film où l’histoire commence mal. Mais malgré ça, je pense que c’est un très bon film. Ceci contredit le principe que j’indiquais sur le Caucus qui consiste à commencer positif.
Ainsi, même s’il y a des règles ou des principes en impro (et d’une manière plus large en ce qui concerne la narration), elles peuvent toujours être remises en cause. Je maintiens ce que je disais dans mon premier post sur ce blog: les règles sont des “petites roues” qu’il faut progressivement apprendre à retirer.
Peut-être deux idées que je retire du film et qui font qu’une histoire qui “commence mal” fonctionne malgré tout:
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Construire une relation émotionnelle entre le héros et le public rapidement,
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Ne pas mettre trop de rebondissements: il commence déjà mal, une rupture narrative n’est pas ce qu’on recherche dans ce cas. On veut savoir “comment il va s’en sortir”, et pas “ce qui va lui arriver” (ce qui est ce qu’on a envie de voir quand ça “commence positif”).
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